Quand effectuer la coupe des griffes du chat ?

D’une manière générale, il n’est pas indispensable de couper les griffes de son chat, mais cela repose sur la manière de vie de votre animal (appartement ou extérieur). S’il s’agit d’un chat d’extérieur, ses griffes lui seront essentielles pour grimper, chasser et se défendre. Pour un chat d’appartement, vous pouvez lui fournir un griffoir afin qu’il puisse entretenir ses griffes complètement autonomes au quotidien. Pourtant, si votre chat a la fâcheuse tendance à gratter toute la maison, vous pouvez lui couper court pour qu’elles occasionnent moins de dégâts et qu’elles soient moins pointues. L’usage d’un spray répulsif/éducatif pourra aussi aider votre chat à mener ses griffades sur un objet estimé comme son griffoir.
Avec l’âge, ces animales deviennent moins actives. En ce cas, il est essentiel de leur couper les griffes qui peuvent se recourber, s’allonger, et pénétrer à l’intérieur du tapis, provoquant parfois une infection.
Enfin, n’oubliez pas de regarder les griffes de ses ergots au rang des pattes avant. En fait, moins ils touchent le sol, plus ils s’usent lentement.

Couper correctement les griffes de son chat

Il vaut mieux de laisser votre chat s’habituer à ce procédé dès son plus jeune âge. Vous pouvez utiliser un coupe-griffe que vous pourrez procurer en animalerie ou chez votre vétérinaire.
L’opération doit être effectuée dans un endroit calme afin de ne pas effrayer les animaux. Elle se déroule en 4 étapes :
• Fixez votre chat contre vous.
• Tenez la patte entre votre index et votre pouce.
• Appuyez doucement sur le haut de votre doigt pour faire sortir la griffe.
• Coupez sans dépasser la partie transparente la griffe.

L’agility : une activité phare dans le « planning » quotidien de votre chien

N’hésitez pas à acheter un parcours d’agility pour votre chien. Investissez même dans du matériel professionnel. Votre chien appréciera cette discipline, et vous aussi au demeurant.

L’agility est une discipline aux multiples vertus pour votre chien. C’est un des exercices canins à ne surtout pas négliger. Ce sport consiste en un parcours d’obstacles que votre chien doit franchir avec votre aide. Ces obstacles forment en vérité des exercices cardiovasculaires, de coordination, d’obéissance, de vitesse et de précision. Votre chien brûle des calories, se muscle et accroît sa souplesse.

L’agility améliore la relation entre le chien et son propriétaire. L’exercice renforce la communication non verbale. Une compréhension mutuelle s’instaure alors ainsi qu’une confiance mutuelle. La complicité est totale. Presque tous les chiens, quel que soit leur âge ou leur taille, peuvent faire un parcours d’agility. Vous devez cependant adapter les obstacles à leurs capacités physiques et à leur état de santé. Enfin, commencez lentement et progressez au rythme de votre chien pour éviter les blessures.

Le rôle des activités physiques dans la vie d’un chien

La pratique quotidienne d’un exercice favorise le bien-être physique et psychologique de votre chien. Elle contribue à son éducation et à son épanouissement. Les activités physiques préviennent l’obésité, réduisent les comportements destructeurs liés à l’ennui, et renforcent la proximité entre le chien et son propriétaire. Il existe plusieurs activités : jogging, randonnée, l’agility, le frisbee, les cours d’obéissance et même la natation. Ce sont autant de moyens efficaces de garder votre chien actif. Les jeux de piste, pour leur part, stimulent l’intelligence de votre chien par le biais d’un entraînement physique.

Opter pour un dressage traditionnel

Pour plus d’informations sur le sujet, visitez ce site sur les animaux de compagnie  ! D’autres conseils y sont prodigués, pour le bien-être des compagnons à quatre pattes.

Une multitude de techniques de dressage de chiens existe. Toutefois, le traditionnel est le plus strict et le plus controversé. Il est composé de punitions et de châtiments, qui ne sont pas bénéfiques à un chien. Évitez d’en avoir recours au risque de vous retrouver avec un animal de compagnie instable.

A contrario, misez sur les méthodes qui prônent le renforcement positif. C’est une nouvelle approche, offrant plus de résultats, surtout auprès des chiens de race. Le principe est simple, les hurlements ainsi que les punitions sont remplacés par des récompenses.

Rater l’âge du dressage

Le dressage canin est une question de timing. Un chiot est plus facile à modeler qu’un chien adulte. Or, de nombreux propriétaires laissent passer le bon âge de dressage. En moyenne, les spécialistes recommandent un dressage dès 3 mois. Au-delà, il est toujours possible de changer la donne, mais le processus est plus long. Notez que cet âge de dressage est approximatif, et dépend des paramètres suivants :

– la race du chien;
– son environnement ;
– le mode de dressage (soi-même ou via un dresseur professionnel).

Un conseil, confiez cette tâche à un expert. Lui seul détient les connaissances nécessaires pour mener à bien le dressage, sans renforcement négatif.

L’incohérence

Un bon dressage est le juste milieu entre un comportement logique et la cohérence. Vos paroles ne doivent pas avoir d’exception, sinon le chien risque de perdre ses repères. À titre d’exemple, ne lui interdisez pas de monter sur le canapé aujourd’hui, si demain, vous l’encouragez à venir s’asseoir près de vous pour un moment câlin.

Cerner le caractère du Spitz

Le Spitz se démarque des autres chiens par son intelligence, ce qui lui permet de mémoriser facilement les ordres qu’on lui donne. Très affectueux, le Spitz nain est très sensible aux récompenses que lui offre son maître pour le féliciter. Cela contribue à le motiver à respecter les ordres qui lui sont donnés. Ces traits de caractère font du Spitz un animal facile à éduquer.

Il vous suffit donc d’entamer une relation de confiance avec votre chien pour pouvoir le dresser efficacement. L’obéissance de votre chien dépend beaucoup de son maître. Vous devez donc vous investir dans l’éducation de votre chien si vous voulez qu’il vous écoute et vous obéisse.

Lui apprendre la propreté

La propreté est l’une des qualités que le chien doit avoir. Pour cela, vous devez régulièrement habituer votre Spitz à faire ses besoins dans des endroits appropriés. Montrez-lui où il doit les faire et n’oubliez pas de le récompenser pour qu’il puisse comprendre que c’est ce qu’on attend de lui.

Lui apprendre les commandes de base

C’est l’ensemble des ordres basiques que le chien doit savoir durant sa période d’apprentissage. Il doit ainsi comprendre quelques mots clés comme « non », « assis », « stop » ou encore « descends ». Ces petits mots peuvent contribuer à lui faire savoir ce qu’il doit faire dans différentes situations.

Apprendre les bonnes pratiques au chien

La marche figure parmi les activités préférées des chiens, et en particulier du Spitz. Pour cela, vous devez lui apprendre à marcher correctement en laisse. Il doit pouvoir marcher à vos côtés, sans avoir à tirer sur la laisse, ce qui lui évitera des blessures au niveau de la trachée, ou qui pourra l’empêcher de respirer correctement. Le Spitz aboie beaucoup, même pour un rien. Bien qu’il s’agisse d’un trait qui lui est naturel, il faut habituer le chien à limiter ces aboiements en l’éduquant dès son plus jeune âge.

1. Assurer une bonne alimentation au British Shorthair

Tout comme les chats d’autres races, le British Shorthair a besoin d’avoir une bonne alimentation pour préserver sa santé. Pour cela, la croquette chat pourra lui apporter les valeurs nutritives nécessaires pour sa croissance. En réalité, cette race de chat a besoin d’une alimentation riche pour maintenir sa musculature naturelle.

Vous pouvez visiter https://www.ultrapremiumdirect.com/chat/croquette/ pour découvrir les différentes croquettes pour chat qui sont de qualité premium. Elles sont adaptées aux besoins des chats, fabriquées à partir d’ingrédients d’origine animale et se déclinent en une gamme complète.

2. Contrôler la ration alimentaire

La British Shorthair est un chat qui a naturellement de l’embonpoint. En réalité, toutes les parties de son corps comme la tête et les oreilles sont bien charnues. Par conséquent, il faut avoir un contrôle sur la quantité de nourriture à lui servir au quotidien. Vous devez lui fournir de petites quantités de nourriture en plusieurs prises pour lui faciliter la digestion.

Dans le cas contraire, vous risquez d’augmenter sa masse corporelle. Ce qui sera plus tard à l’origine des problèmes de santé. Par ailleurs, il est déconseillé de nourrir ce chat la nuit.

3. Éviter les aliments qui contiennent de la graisse

En dehors du fait qu’il faut maîtriser la quantité de nourriture à servir au chat British Shorthair, il est aussi important de veiller sur le choix des aliments. Certains aliments ne sont pas adaptés au chat. Il s’agit par exemple des aliments qui contiennent de la graisse.

Ils ne contribuent en rien à la croissance du chat. Au contraire, ils sont à l’origine de certaines pathologies qui sont fréquentes chez les chats et en particulier chez le British Shorthair.

4. Bien entretenir les poils et griffes

Le British Shorthair est un animal qui est vulnérable malgré son aspect physique impressionnant. Il est souvent attaqué par des virus ou des puces. Pour éviter cela, il est préconisé de faire un entretien régulier de ses poils.

De même, vous devez prendre soin de nettoyer ses griffes qui rassemblent toutes sortes de bactéries à longueur de journée. Il faut les limer lorsqu’elles sont trop longues.

5. Pousser le chat à faire des exercices

Pour être en bonne forme et atteindre son espérance de vie, le British Shorthair a besoin de faire des activités physiques. Ainsi, il est facile de prévenir l’obésité de votre chat. Pour ce faire, il faut amener le chat à l’extérieur et jouer avec lui.

Si vous ne disposez pas de grand espace à domicile, il faut trouver du temps pour l’amener dans les jardins publics ou au parc.

6. Assurer une bonne litière

Pour préserver la santé de votre compagnon à quatre pattes, il est important de lui préparer un lieu de couchage approprié. À cet effet, vous devez aménager un espace discret et propre dans votre logement. Après cela, il faut lui donner une bonne litière.

Cette dernière évitera au British Shorthair d’être infesté par les puces. D’ailleurs, cette race de chat ne supporte pas la saleté.

7. Faire des contrôles chez le vétérinaire

Le British Shorthair a une forte sensibilité aux infections. Pour le protéger, il est important de l’emmener chez un vétérinaire pour un bilan de santé au moins une fois par an. Cette précaution permet d’éviter à votre animal de compagnie de contracter des maladies.

La consultation vétérinaire permet aussi de bénéficier de conseils pour mieux entretenir le chat.

8. Lui faire des câlins

Ce chat britannique est caractérisé par la douceur, le calme et la tendresse. Il a besoin de l’affection de son maître pour se sentir mieux dans sa peau. Par conséquent, il faut lui accorder du temps et se montrer généreux en câlins.

Le British Shorthair se plaît en compagnie de son maître. Il montrera plus d’enthousiasme si vous lui réservez un bon accueil et lui montrez qu’il compte pour vous.

9. Utiliser des produits désinfectants

Pour faciliter l’entretien de ce chat britannique, il est recommandé d’utiliser les produits désinfectants. Ils sont conçus pour éliminer en temps record les puces. Vous pouvez les utiliser les soirs sur le chat pour assurer une bonne protection.

Il n’est plus nécessaire d’attendre des jours pour laver ses poils. Il suffit d’asperger le chat en attendant le grand nettoyage.

10. Lui acheter des jouets

Même si le British Shorthair aime le calme, ce n’est pas une raison pour le laisser oisif. Cette situation affecte négativement son humeur. Il est recommandé de lui acheter des jouets pour chat tels que les griffes en plastique, les dents et les croquettes artificielles.

En résumé, pour assurer une bonne santé au British Shorthair, il faudra suivre rigoureusement des conseils précis. N’oubliez pas de vous montrer très affectueux.

30 années d’expérience au service des animaux de compagnie

Alliavet, c’est 30 années d’expérience dans la prise en charge d’animaux de compagnie. En plus de votre chien, vous pouvez y emmener vos NAC ou Nouveaux Animaux de Compagnie.
Cela équivaut à plus de 1 500 interventions chirurgicales et 7 500 consultations tout au long de son existence. Les équipes sont expérimentées. De quoi vous rassurer et assurer la qualité de soin proposé à votre boule de poil.

Une clinique vétérinaire professionnelle et réputée dans l’Oise

Dans la région de l’Oise, la clinique fait partie des références. L’enseigne dispose de 2 centres vétérinaires dans cette partie de la France : Liancourt et Fitz-James. Toutes deux acceptent les interventions d’urgence. Vous pouvez toutefois prendre rendez-vous via le site internet de la clinique pour les examens de routine, les soins préventifs ou autres.

Un large panel de prestations

Ses vétérinaires proposent un large panel de prestations aux maîtres. Sont proposés la chirurgie, mais également les analyses en laboratoire, la médecine interne, l’orthopédie, les consultations classiques et même les soins à base de médecine alternative. Les traitements dispensés par cette clinique peuvent être couverts par la mutuelle santé de votre chien.
Sur le site de Alliavet, vous pouvez également faire du shopping pour votre animal de compagnie. Quelques produits nécessaires à sa santé, à son bien-être ainsi qu’à son développement vous y sont proposés.

Un veau nouveau-né est encore très fragile durant ses premières semaines de vie. D’ailleurs, bon nombre de veaux meurent à ce stade. Souvent, ils sont atteints d’affections diverses dont certaines sont très graves. C’est d’ailleurs le cas des diarrhées néonatales. La grande majorité en souffre. Mais d’autres maladies peuvent également toucher les veaux nouveau-nés à savoir les infections du cordon ombilical ou encore les maladies respiratoires. Comment en prendre soin pour éviter la mortalité chez les veaux ?

 Qu’en est-il des diarrhées néonatales ?

Ce type de maladie peut survenir au cours des 4 premières semaines de vie des veaux. Il s’agit de maladies qui sont capables d’engendrer la diminution de l’absorption des nutriments essentiels au veau. Cela peut aussi inclure une importante déshydratation. Dans la plupart des cas, le veau meurt rapidement. Par contre, s’il arrive à survivre, le veau verra ses performances de croissance diminuer.

Les responsables sont surtout des virus comme les rotavirus ou coronavirus, des parasites comme les coccidies, des bactéries comme l’E. Coli… Une diarrhée chez le veau se présente par des selles contenant du mucus ou du sang. Cela peut arriver dès leur arrivée au monde et durant les 4 ou 6 premières semaines. En cas de diarrhée, le veau peut mourir en 12 à 48 heures.

C’est pour cela qu’il est important d’intervenir rapidement si les symptômes surviennent. Souvent, on opte pour un réhydratant pour veaux. Ce traitement est surtout utilisé pour compenser les pertes en nutriments et en électrolytes. Si la diarrhée est causée par des bactéries, ce traitement sera associé à des antibiotiques.

Dans tous les cas, quelques modes de prévention peuvent être établies pour éviter la diarrhée chez les veaux nouveau-nés. Généralement, cela passe par une bonne gestion du lieu de vie des animaux, un bon choix d’une litière et de la paille, une bonne luminosité et température, une bonne alimentation avec des aliments riches en oligo-éléments et en minéraux, vaccination des futures mères avant le vêlage… Par ailleurs, l’idéal serait de toujours demander conseil à un vétérinaire en élevage bovin.

En savoir plus sur les affections respiratoires et les omphalites

Les infections du cordon ombilical ou omphalites sont également courantes chez les veaux nouveau-nés. Généralement, à la naissance, le cordon ombilical se rompt et s’étire à quelques centimètres de la paroi abdominale. Au cours de la première semaine, la partie externe se dessèche pour ensuite tomber. Dans certains cas, si le lieu d’élevage est mal-entretenu, il est sûr que le cordon peut être contaminé ou infecté lorsqu’il est en contact direct avec la litière ou le sol.

Dans ce cas-là, il est important de respecter les bonnes pratiques d’élevage. Il faudrait notamment réaliser une désinfection de la litière, choisir une litière de bonne qualité au vêlage, une surveillance régulière du cordon…

En ce qui concerne les affections respiratoires, il faut dire qu’elles ne touchent que les veaux un peu plus grands pour la plupart des cas déjà survenus. Généralement, ces affections sont connues sous le terme BPIE ou bronchopneumonies infectieuses enzootiques. Elles sont souvent dues à des bactéries, des virus ou encore des parasites. Il faut dire que la prévention est essentielle pour éviter d’aggraver la situation des veaux nouveau-nés. Les modes de prévention précédents sont applicables aux affections respiratoires.

Fournir une bonne alimentation

Il convient de rappeler que les tortues sont herbivores. Pour bien couvrir donc leur besoin nutritionnel, il faut absolument fournir des végétaux, des plantes, fruits ou des légumes. L’idéal, ce sont les salades, les brocolis, les betteraves ou céleris. Il faut juste veiller à une alimentation bien équilibrée et variée. La mixité des aliments renforce en effet leur bien-être. Ce qu’il faut éviter, c’est de leur donner des aliments non consommés ou des déchets ménagers. Il faut toujours leur fournir des aliments frais et un volume suffisant d’eau pour une bonne hydratation.
Pour également favoriser la belle carapace pour sa tortue, il va falloir lui faire absorber plus de calcium, de la vitamine D et des minéraux. En période d’été, la tortue doit avoir accès à lumière du soleil. En période d’hiver ou d’hibernation, il est donc essentiel de placer des tubes fluorescents ou des lampes HQI spécifiques dans son abri.

Enclos ou terrarium pour l’abri ?

Pour passer facilement les périodes les plus rugueuses, les tortues doivent obligatoirement vivre sous un abri confortable et sécurisé. Les propriétaires ont largement le choix entre l’abri intérieur et l’abri extérieur. Pour un abri intérieur, il faut absolument miser sur le terrarium, qui doit mesurer au minimum 1,5 m de longueur. Il s’adapte parfaitement aux tortues terrestres juvéniles. D’ailleurs, les tortues n’atteignent sa taille adulte qu’à l’âge de 10 ou 15 ans. Le terrarium en verre est vivement conseillé.
Si on a par contre des tortues adultes ou des tortues de type Hermann, elles ne doivent pas vivre en terrarium pour leur bien-être et vivre à l’espace extérieur. Dans ce cas, le propriétaire est obligé de construire un enclos extérieur d’une taille assez grande. L’enclos devrait absolument être grillagé pour éviter les prédateurs. A son intérieur, doit figurer un point d’eau et du compost végétal. Si on a les moyens, on peut aussi installer une serre, qui permet donc à la tortue de vivre en toute aisance à l’extérieur même en période d’hiver.

Les entretiens à faire

Pour bien entretenir les coussinets de votre chien, vous devez obligatoirement les surveiller de manière régulière. Ils doivent toujours être propres et nets. Pour vous en assurer, veillez à les nettoyer avec de l’eau froide et du savon noir chaque jour. Coupez également les poils très longs entre les coussinets qui risquent de conserver les saletés ou de se coincer.
En période d’été, vous ne devez pas hésiter à hydrater les coussinets de temps en temps. Quant en période d’hiver, vous devez les nettoyer plus avec de l’eau tiède ou de l’eau chaude. Pour également tonifier les coussinets de votre chien, vous devez sur le long terme appliquer des lotions tonnantes, dont la formulation permet de bien améliorer la résistance à l’usure et la souplesse. Parmi les lotions les plus prisés pour coussinet, on peut citer principalement le SOLIPAT.

Les procédures de soins en cas de blessure

Vous avez remarqué des blessures superficielles au niveau des coussinets de votre chien ? Ce n’est pas la peine de voir immédiatement un vétérinaire. Vous pouvez en prendre soin à la maison avec quelques astuces faciles. Vous devez d’abord nettoyer a plaie avec de l’eau propre et roulez ensuite un sparadrap sur cette partie. Si des crevasses apparaissent, osez mettre des crèmes anti-crevasses. Si au bout de quelques jours, la plaie est devenue trop importante ou si elle sent mauvaise, vous devez alors consulter un vétérinaire.

Les précautions

Pour mieux prévenir les cas de blessure et les situations à risque, vous devez préférer lors des balades avec votre chien, les surfaces souples, comme celles en sable, en écorce, en graviers ou en terre. Evitez particulièrement les goudrons en période d’été. Par contre en période d’hiver et en cas de conditions climatiques défavorables, pensez à acheter pour votre Toutou des chaussettes antidérapantes, des chaussettes de protection en silicone ou des bottes pour chien, qui le protège contre le sol trop glissant et le gel glacial. Efficaces et moins coûteux, ils permettent à votre chien de se déplacer en toute aisance en période hivernale.

Son régime alimentaire est à surveiller de près

Il lui faut pratiquement tous les jours de la paille et du foin, certains fruits et légumes, des aliments concentrés contenant des vitamines et des minéraux, des céréales et des co-produits etc. Et surtout, votre cheval a besoin d’herbes, en bon herbivore qu’il est. Vous devez donc bien entretenir votre prairie pour qu’il y ait de l’herbe de bonne qualité qu’il peut brouter autant qu’il veut. De toute manière, votre cheval ne touchera pas aux herbes qu’il n’aime pas. Un petit conseil : mettez aussi des vaches dans vos prairies et avec votre cheval, ils enrichiront avantageusement votre terrain.

Surveillez l’appétit de votre cheval

Autant que possible, soyez là lorsque votre cheval mange. Cela est important car alors, vous pourriez surveiller de près ce qu’il mange et la quantité qu’il ingurgite. Mais surtout, donnez-lui le temps qu’il veut pour manger. Un cheval a besoin de mâcher lentement et méticuleusement sa nourriture. Sa nature veut qu’il doit imprégner son bol alimentaire à l’aide de sa salive, d’où l’importance de prendre son temps pour manger. Pour information, un cheval mettra 45 min pour manger 1 kg de foin et il prendra 20 min pour avaler 1 kg de céréales. Quant à la ration, tout dépend de son âge, de sa taille, de ses activités, de son poids, de la saison et des aliments.